mercredi 16 octobre 2013

La Malédiction

Il y a une malédiction qui me hante depuis que j'ai créé le DBL Ball. Même si je suis l'auteur des règlements et que je pratique le DBL Ball depuis 2003, j'ai toujours perdu tous les tournois et même les saisons.

Éternellement dans l'ombre des deuxièmes positions ou des éliminés.

On pense souvent à tort que vu que j'ai inventé le DBL Ball, je suis le meilleur joueur et capable de tout. C'est loin d'être le cas. Je ne suis pas le meilleur et pratiquement incapable de sauter le but, preuve vidéo à l'appui :

En fait, cette pensée s'applique aussi à l'Équipe Étoile du DBL Ball. On peut penser à tort que cette formation a toujours tout gagné et jamais perdu, mais à dès sa première partie en 2010 contre les Lynx de St-Anselme, une équipe formée d'élèves de secondaire 5 de la Polyvalente, les étoiles ont perdu.

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 Cela s'explique assez facilement. Le sport étant très jeune, il plus que facile de le maîtriser. Les équipes n’ont peu ou pratiquement aucune stratégie et aucune stratégie n'est supérieure ou meilleure.

Une équipe qui décide de jouer au DBL Ball aujourd'hui peut bien devenir la meilleure demain à la suite d'une découverte de technique et à la suite d'une mise en place d'une stratégie infaillible.

Pour le moment tout est possible et la créativité des joueurs est la limite. Je ne crois pas que cela va durer éternellement et que tous les sports sont sûrement passés par ce moment d'humilité lorsqu'on se fait battre par un non-initié.

Une chose certaine, ce moment actuel où le sport est sans frontière technique est apprécié par ceux qui le pratiquent.

 Je me suis déjà fait reprocher de changer les règlements pour avantager mon style de jeu, (qui sait je vais peut-être gagner un jour ;)  mais pour ma part, je tente toujours d'apporter des modifications aux règlements qui vont prolonger cette période et éviter ainsi la création d'une stratégie ou technique unique pour gagner.

Le 9 novembre prochain, l'Équipe Étoile va jouer contre les étudiants en éducation physique de l'Université Laval. L'Équipe se pratique depuis septembre. En espérant que nos efforts seront récompensés, sinon ce sera une autre leçon d'humilité servie par l'adversaire !

Lynx Champions - On a dû leur laisser la Coupe.

En plus, on a perdu devant 100 personnes pour faire exiprès.

Je souris, car après tout, c'est plaisant de voir des gens qui prennent le DBL Ball à coeur.


mardi 27 août 2013

Le DBL au féminin

Pourquoi le DBL Ball? En fait, je dirais plutôt pourquoi pas? 

J'ai essayé le DBL Ball plus ou moins pour les bonnes raisons, il y a déjà 4 ans. À ce moment, j'y allais surtout pour rencontrer un garçon sur qui j'avais eu un "kick" quelques jours plus tôt. Finalement, je suis bel et bien tomber amoureuse du dit garçon, mais aussi de son sport! Que dire... Étant initialement une joueuse de soccer et de basket, me voilà comblée : le parfait mélange des deux sports. Pouvoir monter le ballon en dribblant, et le botter avec mes pieds quand bon me semble!! 

La beauté du DBL Ball, c'est entre autres qu'il s'agit d'un sport mixte. Et contrairement à ce qu'on pourrait en penser, lors d'une partie, nous, les joueuses au féminin, avons le ballon autant que les garçons. Le jeu est intense, les bousculades sont présentes, ça c'est certain, mais sommes toutes, les filles demeurent selon moi un atout. Alors que la majorité des joueuses de DBL se dévoilent avec des habiletés assez impressionnantes pour défendre les buts, à l'attaque, nous voilà sous-estimées. Les gars préfèrent surveiller en double les "gros joueurs" plutôt que de surveiller "la fille". Tant pis, parce que "la fille" aura la chance de marquer le but gagnant ;) Bref, de mon côté, lorsqu'on me demande si je fais du sport, et quel est ''mon sport'', je réponds fièrement le DBL Ball. 

Véronique Maheux et Marie-Michèle Levesque, mes deux fidèles adversaires féminines de DBL Ball ! Photo prise par Olivier La Haye, lors des parties libres en mars 2013. 

lundi 5 août 2013

Pourquoi j'aime faire pleurer les enfants

Dans la vie comme dans son travail, on cherche toujours à recevoir l'approbation. À l'école, l'enseignant nous met une petite étoile sur notre copie pour montrer que notre travail vaut quelque chose.

Au travail, c'est la même chose, mais un peu différent. "Un beau travail" du patron, ou un beau sourire de la jolie cliente peuvent faire notre journée.

Pour ma part, ce qui fait ma journée, c'est de voir des enfants pleurer. Je m'explique.

Comme vous le savez peut-être, je suis l'inventeur du DBL Ball et pour me financer et aussi avancer la cause du DBL Ball, je me déplace d'écoles en écoles et dans les terrains de jeu l'été pour faire jouer les prochains grands joueurs de DBL Ball.

Lors de la séance, mes petits joueurs apprennent les règlements et se pratiquent avec des ateliers que je n'hésite pas à rendre compétitif, car 
  1. On fait du sport et dans le sport, il y a des gagnants et perdants.
  2. Je suis quelqu'un de compétitif et je ne peux rien entamer sans avoir une compétition.
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Je prends une petite pause parenthèse pour vous écrire un peu sur la situation de la compétition dans les écoles: la compétition est mal vue. Divisant les meilleurs des pas bons et laissant la place à la méchante intimidation. Tout ce que je viens de dire dans la dernière phrase se retrouve dans le sport:

  1. À la fin de la partie, il y a un gagnant et un perdant.
  2. Des équipes qui font un cri d'équipe, qui revêt un bel uniforme, qui fait du bruit lors d'un point, c'est intimidant!
Fin de la parenthèse.
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Vers la fin de l'atelier, lorsque j'ai initié tous mes petits joueurs, je les lance dans l'affreux de la compétition. Avant de commencer, je mets les bases, question de rendre le parcours un minimum pédagogique. Je dis à peu près ces phrases-là:

"Vous êtes peut-être 10 équipes et une centaine de participants aujourd'hui, mais sachez qu'il n'y aura un seul gagnant. 10 personnes sur 100. 1 chance sur 10 de soulever la Coupe. Commencez aujourd'hui à apprécier la défaite, pour devenir un champion.

Oui, quand on commence la partie, on veut gagner. Je sais que vous n'êtes pas tous là pour participer et jouer pour vous amuser, mais pour gagner.

Avant de commencer, vous êtes prêt à gagner à quel prix? Au prix d'une chicane? Au prix d'une blessure? Au prix d'une amitié? Au prix de votre crédibilité et votre intégrité? Si vous réussissez à soulever la Coupe à la fin de la journée et qu'il n'y a plus personne pour vous applaudir, est-ce que vous êtes des champions?

Les vrais champions sont ceux que l'on aime jouer contre, car il nous donne un défi et nous respecte comme adversaire. Ils sont honnêtes dans leur démarche. Ils reconnaissent le talent après une défaite. Ils soulignent l'effort qui a été mis pour jouer sur le terrain. Ceux-ci seront les vrais champions à la fin de la journée."

Le tournoi commence. Tout le monde a sa chance. Certaines équipes veulent, mais il manque du talent. Certaine équipe ont le talent, mais ne veulent pas. Les parties déroulent jusqu'à ce qu'il ne reste plus que deux équipes et le scénario assez classique se présente.

L'équipe super compétitive qui n'a jamais connu la défaite affronte l'équipe sympathique qui a perdu dans la ronde préliminaire.

L'équipe qui a le plus travaillé son caractère sort gagnante de la finale. L'équipe qui a appris à perdre, revenir de l'arrière, se serrer les coudes et s'encourager gagne, habituellement.

Félicitant les champions, je passe voir les perdants, car ce sont eux qui ont le plus à gagner de l'aventure.

Un enfant pleure accoté sur le but. Les yeux pleins d'eau. Comme s'il avait perdu la médaille d'or ultime de la finale mondiale du monde entier dentier et que la peine de mort l'attend, rien de moins.

Il y a plusieurs genres de pleurs à la fin de la partie.

Ceux qui pleurent parce que même s'ils ont tout donné ce n'était pas suffisant, ce qui est vraiment douloureux pour l'orgueil.
Ceux qui pleurent parce que c'était la seule et unique fois qu'il avait la possibilité de gagner et de perdre ce moment vraiment unique les attristent.
Ceux qui pleurent, car ils se voient victime dans leur défaite.

Pas besoin de dire, que les derniers sont mes préférés et terme d'apprentissage. Accusant l'arbitrage, la tricherie de l'autre équipe, ils sont incapables de s'avouer vaincus par meilleur que soi.

C'est à ce moment que je les accoste et leur rappelle mes propos de début de tournoi.

Ce moment, est le plus beau merci de mon métier. Oui, on considère assez mon sport pour y mettre tellement d'énergie que l'on y tient à coeur au point de pleurer. Mais c'est surtout, le fait que peut-être aujourd'hui, je vais avoir changé quelque chose chez quelqu'un.

J'adore faire pleurer les enfants.

Non je n'ai pas d'enfants qui pleurent. Mais voici les gagnants du Tournoi de Québec en Automne 2012 dernier.

jeudi 1 août 2013

Un jeu d'équipe!


Des joueurs expérimentés, des athlètes développés ou des dbleurs capables de marquer de n'importe quelles manières, ce n'est pas rare d'en voir de nos jours au DBL Ball. 

Par contre, ce qui est moins évident et ce que je suis fier en tant qu'ancien capitaine et joueur ambassadeur des Burn, c'est de trouver un ensemble de joueurs formant une équipe. 

Nous n'étions pas tous des athlètes à notre première saison dans la ligue, loin de là. Notre objectif était de faire une activité commune dans notre groupe d'amis ce qui a fonctionné. Dès que nous avons trouvé nos joueurs réguliers, nous étions en mesure d'être compétitif face aux équipes et autres joueurs qui avaient des années d'expériences. Lors de notre deuxième saison, nous avons pratiquement gagné toutes les parties. 

Pourquoi donc? Ce n'était pas vraiment l'ajout de nouveaux joueurs plus en forme qui en était la cause. Pas non plus nos camisoles qui nous donnaient un air menaçant. Pas le fait d'être une équipe mixte quand certaines autres n'étaient composées que d'hommes.

La raison était notre jeu d'équipe!

Nous avions du plaisir à jouer ensemble, d'être à l'aise les uns avec les autres. De savoir faire confiance à ses coéquipiers. Chacun avait sa position et par rapport à l'équipe adverse, notre système de jeu s'adaptait. Certains joueurs n'étaient pas souvent sur la feuille de pointage, faisant parti des statistiques impressionnantes, mais ils faisaient un écran mobile lorsque nécessaire, un espace dans le but adverse pour marquer ou un arrêt clef au bon moment! 

L'important dans le DBL Ball et les autres sports collectifs, c'est de jouer en équipe. C'est cinq contre cinq sur le jeu et non pas cinq contre un+un+un+un+un (comme nous avons déjà vu auparavant). 

La cohésion d'équipe, le plaisir de jouer ensemble, les objectifs communs et bien d'autres aspects, forment un jeu d'équipe solide menant à l'accomplissement et la victoire!

Samuel Ouellet



2ieme position des Burn lors du championnat régional sénior de Québec en 2013.

lundi 29 juillet 2013

Le plaisir de jouer



Cette semaine, nous avons une tranche de vie d'Alexis Viger qui nous raconte une de ses expériences de DBL Ball.
            
              Mon équipe mène par un but. La marque est de cinq à quatre. Combien de temps reste-t-il à la partie n'a pas d'importance. La partie pourrait prendre fin d'ici quinze secondes, comme elle pourrait toujours être disputée dans quinze minutes. Au DBL Ball, chaque partie connaît la même issue : la première équipe à marquer six buts l'emporte. 

           Nous avons bien joué jusqu'à présent, cette partie comme durant toute la saison. Nos chances sont bonnes de remporter le championnat. En fait, nous n'avons jamais été aussi prêts. Nous avons marqué presque qu'une centaine de but cette saison, mais ce soir, il n'y a qu'un but qui compte. C'est le sixième but. Celui-ci nous permettra de soulever la Coupe du DBL Ball au bout de nos bras.

            L'arbitre siffle, les dix joueurs se mettent en mouvement. Le ballon est gagné par l'équipe adverse. Derrière moi, mon adversaire se faufile à toute vitesse. Mes réflexes bien aiguisés ne s'avèrent pas suffisants. En l'espace de quelques secondes il se dégage de ma couverture. Cette erreur peut nous coûter cher. Aussitôt que cette idée traverse mon esprit, le ballon est projeté d'un bout à l'autre du terrain, surplombant mes coéquipiers, impuissants devant cette passe parfaite. À l'endroit où j'aurais dû me trouver, le joueur adverse saisit le ballon et ne rate pas une telle chance de niveler la marque.

 5 à 5 prochain but, gagne.

 C'est dans de tels moments que l'on se rend compte qu'au DBL Ball, chaque seconde compte.

            Soudain, je me remets en question. Suis-je trop épuisé pour être sur le terrain? Du coin de l'œil, je regarde mon coéquipier sur le banc. Aurait-il pu empêcher l'équipe adverse de créer l'égalité si je lui avais laissé ma place? Je croyais avoir bien géré mon énergie jusqu'à maintenant, mais la dernière séquence me laisse perplexe. Il semble que mon adversaire prétende à la victoire avec la même avarice qui m'habite présentement. Et en le voyant, de l'autre côté de la ligne centrale, le regard posé au sol, le corps soulevé par chacune de ses respirations haletantes, je me ressaisis. Cette victoire, je la veux plus que quiconque. L'arbitre siffle à nouveau.

            Mon équipe s'installe en offensive. Nous sommes passés maîtres dans l'art de manipuler le ballon, de feinter l'adversaire et de lancer au moment où personne ne s'y attend. Mais devant nous, les deux gardiens se dressent telle une muraille et aucun tir ne semble vouloir trouver le fond du filet. Jusqu'à ce que je distingue une faille dans le mur. Un tout petit espace, entre l'épaule d'un gardien et le coin du filet, juste assez grand pour permettre au ballon de s'y loger. 

             Derrière le but, mon coéquipier dribble, attendant le moment opportun pour s'exécuter. Nos regards se croisent et, comme s'il lisait dans mes pensées, il me décoche une passe vive. Le temps semble s'arrêter, j'ai la victoire au bout des doigts! Mes muscles se contractent, mon bras s'élance, le ballon part tel un missile en quête de sa cible. Les spectateurs sont déjà debout! Tout le monde retient son souffle. 

             Tout le monde, sauf moi. Dès l'instant où le ballon a quitté ma main, j'ai vu que mon tir manquait de précision. Je sais qu'il ne traversera pas le filet, mais il est déjà trop tard. Une erreur d'exécution sur un geste que j'ai pratiqué tellement souvent. Pourquoi faut-il que j'échoue ce moment si important?

            La déception sur mon visage se transforme en peur. Cette peur est alimentée par le joueur adverse qui se saisit du retour et se met à courir vers notre but. Il dribble et court, plus vite que n'importe qui sur le terrain. Plus vite que mes coéquipiers qui courent à ses trousses. Plus vite que l'arbitre qui est au bord de l'épuisement. Et plus vite qu'il ne me faut pour lever les yeux au ciel, juste après l'avoir vu plonger et déposer le ballon de l'autre côté du but.

            Ce revirement de situation rend la défaite encore plus difficile à avaler. Alors que l'autre équipe, sacrée championne, célèbre ensemble, moi, seul à l'autre bout du terrain, je suis rongé par la déception, les remords et la culpabilité. J'ai manqué ma chance et nous avons perdu. Seul, je ne peux me sortir cette pensée de la tête. Heureusement pour moi, mes coéquipiersi me font retrouver la raison.

            Ils me rappellent pourquoi je pratique ce sport, non pour la victoire, mais pour le plaisir de jouer. Je suis entouré de joueurs talentueux, filles et garçons, étudiants et parents, qui sont aussi bons sur le terrain qu'à l'extérieur. Mes adversaires, bien que je les envie d'avoir remporté le championnat, sont ceux qui me permettent à chaque partie de me dépasser et de donner le meilleur de moi-même. 

            La saison est terminée, mais je pense déjà à la prochaine. Remplie de nouveaux défis, de rebondissements et de gens qui partagent la même passion que moi : le plaisir de jouer.

Alexis Viger

Alexis Viger (premier à gauche) remportant sa 2e Coupe du DBL Ball en Juin 2008. Il est l'un des joueurs les plus expérimenté.


mardi 23 juillet 2013

La Victoire Absolue

Le bol pour le mélange est sur le comptoir.

Il manque un ingrédient important pour composer le circuit provincial : des adversaires.

Je suis donc à la chasse d'adversaires. Je suis à la recherche de la victoire absolue.

Je cherche toujours à atteindre le sommet. Depuis, le départ du DBL Ball, nous avons franchi plusieurs caps. Nous avons commencé par des buttes et des collines. Tous les sportifs amateurs comme Olympiens suivent ce parcours.
  • Première victoire dans la cour arrière avec les amis.
  • Première victoire contre des étrangers, dans une ligue, un tournoi.
  • Première victoire où tu représentes plus que ton équipe ou toi-même, tu es maintenant associé à une cause, une ville, une région, une entreprise.
  • Première victoire contre l'adversité. Être la moins bonne équipe sur papier et réussir à changer le sort.
  • Première victoire contre les meilleurs.
  • Premier record. Établir une performance sportive qui sera maintenant une marque à dépasser.
 Comme la fameuse pyramide de Maslow, on veut atteindre le plus haut sommet. Être les meilleurs, être unique au monde et être reconnu pour cela.

On peut accomplir cela dans son travail, dans les études et bien sûr dans le sport. La façon la plus facile, car on peut mesurer une performance, comparer les résultats et déclarer un gagnant.

Aussi drôle que ça peut avoir l'air, je n'ai jamais soulevé la Coupe du DBL Ball comme champion d'une saison ou d'un tournoi. Il y a une sorte de malédiction qui traîne avec moi depuis le début du DBL Ball.

Lorsque je commence une saison ou un tournoi, ce n'est pas cela qui me préoccupe. Mais plutôt est-ce qu'il va y avoir des gros joueurs, des équipes invincibles ou un record de participants à battre pour soulever la Coupe. Plus le chemin, sera difficile pour gagner, plus mon intérêt sera grand dans l'obtention de la victoire.

Je suis donc à la recherche d'adversaires qui sont prêtes à se mesurer sur un terrain de DBL Ball.

On se voit sur le terrain?
Équipe Challengers - DBL Ball - Été 2008
Été 2008 - Dernière fois que j'ai gagné un championnat. On était 2 équipes. (Mise à part les parties étoiles)

mardi 16 juillet 2013

Qui sont les meilleurs?

Je ne croyais pas que ça irait aussi vite. Depuis déjà 5 ans cet automne, je donne mon 110 % pour faire avancer le DBL Ball.

Même s'il y a des moments difficiles, des erreurs, il y a toujours une bonne nouvelle, un succès, une ouverture.

Cette année, ce fut la première fois que j'essuyais un refus d'un client pour leur faire découvrir le DBL Ball.
"Désolé, nous connaissons bien le sport. L'enseignant a suivi une formation, acheté les buts et il l'enseigne."

Pas de contrat d'animation, mais une preuve que le DBL Ball avance. Surtout un petit velours de savoir que des étudiants auront un examen sur le DBL Ball. Mais cela ne paie pas les comptes.

Il faut changer. Entamer la prochaine étape.

La 2e question après, "Quels sont les règlements?", c'est "Qui sont les meilleurs?". Question valable, car une fois qu'on a appris un sport, on se demande où cela peut bien nous mener.

Voilà que cette année, je veux répondre que les meilleurs sont ceux qui soulèveront la Coupe du DBL Ball après une saison provinciale.

Donc déjà après 5 ans, il faut démarrer un circuit provincial.
Leprechaun champions du DBL Ball
Pour le moment, c'est les Leprechauns les meilleurs. Ils ont gagnés la dernière saison.